Publié chez les
éditions Andara le 10 octobre 2023
384 pages
Lu en format
papier
4e
de couverture
Après avoir
découvert l’existence de son fils, Max est déterminé à rattraper le temps perdu
avec lui, mais comment y parvenir sans bouleverser sa vie ? David a déjà un
père, après tout… Est-il trop tard pour s’impliquer auprès de cet enfant qu’il
aime déjà ? Et pourquoi le retour de Camille dans sa vie le chamboule-t-il
autant ? Troublée par la réaction de Max à la suite de cette annonce, Camille
tente de le ramener au calme. Revendiquer sa paternité n’est pas une décision à
prendre à la légère. Il risque de détruire sa famille ! Si elle est heureuse de
voir que l’homme qu’elle a passionnément aimé a envie de connaître son enfant,
elle craint cependant de le voir repartir à New York.
Mon avis
J’avais aimé le
premier tome, mais j’ai une préférence pour celui-ci. L’histoire tourne surtout
autour de Max qui tente de trouver sa place dans la vie de David et c'est rafraîchissant.
Je n’ai pas lu beaucoup de livres à propos de la paternité.
La romance est importante,
mais je pense qu’elle est en second plan puisque les deux protagonistes sont
mariés. Je ne vous divulgâcherais pas la surprise, mais disons que Betty n’a
pas ma préférée. Je la trouvais froide avec Max et David, mais on finit par
comprendre ses raisons. Le roman aurait été ennuyeux sans elle.
J’aime bien
Camille, mais je donne mon étoile du match à Max qui m’a étonné plusieurs fois dans
ce tome. Il a dû prendre des décisions difficiles sans hésitation. J’avoue que
certaines conversations entre Camille et lui tournaient un peu en rond, mais je
l’ai trouvé confiant et déterminé, deux qualités que j’apprécie retrouver dans
les personnages.
C’est un roman
parfait pour se détendre et vivre des émotions intenses en même temps. Les
chapitres sont courts, mais chaque mot a sa place. Je n'ai pas vu le temps
défiler pendant que je parcourais les pages.
Extraits
Parce qu’elle
avait raison. Tu avais besoin de quelqu’un qui te pousserait au sommet, Max pas
d’une fille qui n’avait pas confiance en elle…et qui commettrait la même erreur
que sa mère en tombant enceinte aussi jeune. (p.29)
Son compliment me
fit mal, surtout que j’avais la sensation qu’elle pleurait en me l’offrant.
Camille me voyait comme un être inaccessible. Et moi, j’étais là, à espérer
qu’elle me tende la main qu’elle me fasse une place dans la vie de David.
(p.107)
J’ai vécu en
étant le plus grand regret de ma mère, me rappela-t-elle, et je refusais que
David devienne le tien. (p.174)
Des rires
fusèrent, puis d’un signe de la main, il indiqua à l’homme qui gérait les
mélodies de démarrer celle qu’il avait choisie. Je reconnus rapidement la
chanson C’est zéro de Julie Masse. Même si elle n’était pas récente, quelques
personnes semblaient la connaître et chantaient à tue-tête. (p.291)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire