Publié chez Édito
le 27 septembre 2023
192 pages
Lu en format
papier
4e
de couverture
Et si le temps
qui passe nous invitait à une connexion à la fois plus intense et plus profonde
à l’existence ? Christine Michaud a vécu une renaissance intérieure et est
convaincue de ses bienfaits. Dans cette nouvelle édition d’un livre qui a déjà
séduit plus de 20 000 lectrices, elle nous propose de l’accompagner pour
explorer les chemins qui mènent au Sexy Zen Happy. Un art de vivre pour celles
qui ont envie d’être bien dans leur corps, l’esprit en paix et le coeur en
joie.
Mon avis
Heureuse
coïncidence, l’auteure mentionne une anecdote quand elle hésitait à porter des
shorts pendant l'été et c’est le premier livre que je lis avec ma première
paire de lunettes. Je me suis reconnue dans ce passage qui parle de s’accepter
lorsqu’on vieillit.
Si vous avez lu
la première version et que vous l’avez appréciée, je vous suggère de vous
procurer aussi celle-ci, car elle contient une mise à jour et elle est plus
complète. La majorité des thèmes reviennent, mais elle raconte des anecdotes
qui se sont déroulées depuis la publication du premier livre et certaines
personnes risquent de s'identifier davantage.
Certains
chapitres m’ont plus rejoint que d’autres. Je me suis moins reconnue dans celui
sur la spiritualité, car j’ai un avis qui diffère à ce sujet. Toutefois,
quelques phrases m’ont fait réfléchir surtout quand elle mentionnait sa
relation avec sa grand-mère, j’ai vu quelques similarités avec la mienne.
Si vous vivez une
période de questionnement comme lorsque j’ai rencontré l’auteure, vous allez
vous sentir moins seule en parcourant cette oeuvre. Je crois qu’on a tous vécu
de bons et de mauvais moments dans notre vie et certains nous ont plus marqués
que d’autres sans savoir comment s’en sortir. L’autre nous donne quelques
pistes et je pense que le lecteur peut choisir ce qui lui convient davantage.
Chaque chapitre aborde un thème différent, alors on peut y revenir plus tard,
selon ses besoins.
Extraits
D’ailleurs, quand
j’y pense, les humains que je trouve les plus beaux ne sont pas nécessairement
les « physiquement parfaits » , mais plutôt ceux qui se sont affranchis
de la peur ou du regard des autres, les assumés, les authentiques et
vulnérables, les passionnés et les pleinement vivants ! (p.9)
Je pense que je
suis en transformation. Ma vie va bien, mais je sens qu’elle pourrait aller
mieux. J’ai souvent le sentiment d’un vide intérieur, comme s’il me manquait un
élément, quelque chose que je n’aurais pas encore saisi. (p.32)
Dans ce processus
d’évolution et de changement, je me découvrais un intérêt grandissant pour tout
ce qui a trait au domaine spirituel. Ainsi, j’avais tendance à avoir le nez
plongé dans mes livres pendant de longues heures et j’en oubliais de prendre
soin de mon corps physique. (p.50)
Se libérer, ne
pas lutter, laisser aller… J’avais l’impression d’appliquer cela dans ma vie,
mais on aurait dit qu’un effort supplémentaire m’était demandé. Et si j’étais
totalement honnête avec moi-même, je devais avouer qu’effectivement, j’avais
accumulé quelques lourdeurs dont je devais me dépouiller. (p.60)
J’avais souvent
cette impression d’être trop petite, « pas assez », en quelque sorte. J’ai
souvent souffert du syndrome de l’imposteur, d’ailleurs. Inconsciemment,
j’avais enregistré cette pensée qu’il est préférable de ne pas être vue.
(p.114)
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