Biographie
Ses histoires commencent dans des cahiers Canada et ont
comme thème principal : l’amour. Il n’aurait pu en être autrement pour
cette adolescente un peu trop mélodramatique.
Aujourd’hui, Joanie Mailhot Poissant est une enseignante de
français qu’elle espère un peu délurée. Les mots sont et seront donc toujours
au centre de sa vie. L’amour aussi.
Crédit : Auteure québécoise - Joanie Mailhot Poissant - Éditions de
Mortagne (editionsdemortagne.com)
Questions
Aimerais-tu écrire un
autre genre que la romance?
Oui! Je suis enseignante au secondaire et j'aimerais
beaucoup écrire pour les jeunes. C'est difficile, toutefois, parce que l'offre
est tellement variée et de qualité. J'espère trouver une idée pour les
captiver.
Qu’est-ce qui t’a
attiré vers la romance avant d’écrire ton premier livre?
J'ai toujours été un peu amoureuse de l'amour et pas mal
émotive. Ça allait donc de soit! J'ai commencé à écrire des petites histoires
d'amour alors que j'avais 14 ans. C'est en moi depuis toujours je crois.
Quelles sont tes
principales sources d’inspiration?
Ma vie et celle de mes amies. J'ai toujours dit que de
côtoyer un auteur, c'est de prendre le risque qu'une parcelle de notre vie se
retrouve dans un roman un jour.
L’humour prend une
place importante dans ton écriture, as-tu un humoriste préféré?
Le premier humoriste que je suis allée voir en spectacle est
Louis-José Houde. C'était avant même qu'il fasse de grosses salles. Toutefois,
je dirais que l'humoriste qui me fait rire aux larmes est François
Bellefeuille.
D’où t’es venue
l’idée d’associer les personnages masculins à un genre littéraire?
C'est une drôle histoire. Ça me vient en fait d'un film pour
enfants: «Richard et le secret des livres magiques». Dans ce film, le
personnage principal plonge dans un univers de dessins animés où les romans de
la bibliothèque deviennent des personnages. Je me suis donc demandé à quoi des
humains ressembleraient s'ils correspondaient à un genre littéraire.
Quels conseils
donnerais-tu à un nouvel auteur?
Il y a une petite partie de talent dans chaque roman, mais
une grosse partie de travail. Le plus difficile, c'est d'avoir une bonne
discipline de travail et de se concentrer sur une histoire. Parfois, j'écris un
paragraphe et j'arrête. D'autres fois, j'écris plusieurs pages. Il ne faut pas
se décourager. Aussi, lire le genre qu'on veut écrire peut aider à cibler nos
idées.
Quels sont tes
prochains projets?
J'ai presque terminé le premier jet de mon 4e roman. Il
s'agit de l'histoire de trois soeurs qui auront tous un rendez-vous qui
changera leur vie. Parfois, une rencontre peut être déterminante.
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