Biographie
Claudia Lupien a grandi en Montérégie, puisant une force bienfaitrice dans ses racines. La fillette rêveuse qui s’inventait des histoires pour le plaisir a désormais fait place à l’éducatrice à la petite enfance et à la fière maman.
Des milliers de mordus de littérature l’ont rejointe sur sa page J’aime la Chick-lit. Passionnée, Claudia souhaite toujours améliorer l’auteure en elle, de même que nouer des liens avec ses lecteurs et lectrices par le biais de l’imaginaire.
Crédit : Les éditeurs Réunis
Questions
1- Qu’est-ce qui t’a motivée à écrire un roman ?
La toute première fois ? C’était en 2011. La lecture d’une série jeunesse m’a donné envie d’inventer une histoire et de voir si ça pouvait éventuellement devenir un roman. (Texte-moi a été édité chez Première Chance et le Tome 2 autoédité. Ce roman jeunesse aura peut-être une 2e vie un jour, qui sait ?)
Ensuite ; j’ai préféré m’inspirer de la vie adulte et j’ai écrit J’ai besoin de la Lune et J’ai besoin d’une plume. (J’aimerais bien que ces héroïnes-là aussi puissent se rendre jusqu’à vous un jour.)
Puis, lorsque j’ai osé m’inspirer de ma propre profession, Pas devant les enfants est né. J’en suis très fière.
2- Pourquoi avoir choisi 7 choses à faire au lieu de 5 ou 10 ?
Ah, mais c’est Doris qui a choisi d’en avoir 7 😉
Ses raisons sont d’ailleurs expliquées dans le roman, lisez pour les découvrir.
Qu’est-ce qui t’a inspirée pour le personnage de Doris ?
J’aime bien démarrer avec un métier et mon fils m’inspirait déjà lorsqu’il revenait de ses quarts de travail, en restauration. J’ai vu le métier de serveur/serveuse d’un autre œil et j’ai eu envie d’approfondir. Puis, j’ai été servie par une « véritable Doris » sur une terrasse à Saint-Sauveur ! Une belle blonde à l’air sympathique ! Ma Doris était née. 😊
Doris a
une relation spéciale avec sa grand-mère, est-ce aussi ton cas ?
Lorsque je pense à une
personne âgée bien aimée, j’ai tout de suite ma Mamie à l’esprit. (J’étais
moins proche de mon autre grand-mère). L’amour de ma Mamie pour les siens a
marqué positivement toute une génération, au moins. Elle a pu m’inspirer,
cependant je ne la voyais pas assez souvent pour développer avec elle une telle
relation.
Doris a grandi avec sa belle Odile, celle-ci représente vraiment son phare et
ses racines.
En vérité, j’aimerais bien y revenir !
La musique peut si bien nous transporter, nous émouvoir, nous défouler et nous
faire du bien.
Mais depuis que j’ai souffert d’une labyrinthite, j’ai un peu fui le bruit et
n’allume plus la radio à la maison.
Ça y est, je suis à la recherche de l’application parfaite pour écouter mes
listes de lecture !
Qu’est-ce qui défoule mieux que de danser n’importe comment et chanter à
tue-tête ?
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