Publié chez les
éditions Hors Ligne le 6 juin 2022
117 pages
4e de
couverture
Je grimpe sur le
rebord d’une fenêtre, et me retrouve face à une image saisissante : il n’y a
rien ni personne dans l’appartement ! Plus de boîtes remplies d’objets, plus de
meubles, plus de jouets. Il ne reste que mon bol de croquettes vide. Quelle
horreur ! Le logement est désert. Totalement…
La maîtresse de
Louloutte a disparu en même temps que tout le contenu de leur appartement.
C’est dans la ruelle que la petite chatte comprendra ce qui s’est passé, ce 1er
juillet..
Mon avis
Ce livre
s’adresse surtout à un public de 6 à 10 ans, mais le sujet me touche à un point
que je désirais en écrire une chronique. Louloutte m’a frappé directement au
cœur et j’espère que tout comme moi, vous allez l’adopter.
J’ai moi-même
adopté deux chats en novembre et je ne pourrais pas imaginer ma vie sans eux.
On s’attache à ses petites bêtes et c'est dommage qu’autant de félins soient
abandonnés lors d’un déménagement ou que peu de propriétaires acceptent les
animaux.
L’écriture
convient au groupe d’âge visé. En tant qu’adulte, je n’ai pas trouvé le texte
redondant. Les phrases sont courtes et diversifiées ce qui peut aider à un
jeune lecteur à améliorer son vocabulaire sans trop de difficulté.
Je vous rassure
que l’histoire n’est pas aussi sombre que je l’imaginais. Louloutte rencontre de
nouveaux amis et apprend à survivre sans Marilou. Je vous laisse découvrir les
péripéties. Si jamais vous cherchez un livre à offrir à un enfant au primaire,
je vous le recommande chaudement. D’ailleurs, il contient quelques images
dessinées par Rig Rodrigue et elles sont magnifiques. Je crois que les enfants
vont les apprécier.
Extraits
Ce soir, Marilou
est particulièrement câline. Des larmes coulent sur ses joues et elle me serre
fort dans ses bras. Je ne sais pas pourquoi elle pleure. Je ronronne donc de
plus belle et lèche l’eau sous ses yeux. C’est ce que je fais toujours pour
consoler ma Marilou. (p.15)
Parfois, les
parents ne souhaitent pas vivre avec un animal, mais ils en adoptent tout de
même un pour faire plaisir à leur rejeton. C’est eux, ensuite, qui décident
d’abandonner le chat ou le chien lors d’un déménagement. (p.49)
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