publié par AdA dans la collection des contes interdits
4e
de couverture
Cette version moderne de
La petite sirène vous submergera dans les bas-fonds de la nature humaine et de
l’horreur. Un conte d’espoir, de perdition, de déchéance, où sont exploités les
plus bas instincts qui animent les hommes. Il faut parfois savoir accepter
notre destin au risque de déclencher des évènements irréversibles.
Un père alcoolique qui
tente de noyer son enfant difforme.
Un couple de monstres de
foires en cavale, poursuivi par un policier corrompu, au service d’un juge
pervers.
Une magnifique sirène
prisonnière des griffes d’un forain sadique et qui se lie d’amitié avec un
garçon homard.
Une mystérieuse
attraction montréalaise, le palais des nains, qui cache des abominations,
d’absurdes personnages de cauchemars aux intentions machiavéliques.
Mon avis
Je commence cette
chronique en vous mentionnant que je suis mitigée à la suite de ma lecture. J’ai
bien aimé Angela et Henri inspirés d’Ariel et Sébastien du film de Disney. Par
contre, j’ai dû prendre une pause quand je suis arrivée à la partie du Palais
des nains. On est loin de Sébastien qui tente de convaincre Ariel de demeurer
dans l’océan. D’ailleurs, j’ai apprécié la fin du conte, car j'ai noté un clin
d’œil à cette scène.
L’histoire est bien
écrite, mais il y a plusieurs personnages. Quelques-uns m’ont plus ou moins
marqué. J’ai bien aimé la mention des autres auteurs de la collection .
Angela vit des choses
inimaginables dès le premier chapitre, mais c’est vraiment avec la comtesse que
les extraits deviennent plus lugubres. Si vous aimez les romans un peu gore, je
vous le recommande.
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