Publié chez les éditeurs Réunis le 21 octobre 2025
384 pages
Lu en format numérique
4e de couverture
Evelyne, mère célibataire fraîchement séparée, traverse une
période éprouvante à l’approche de Noël : c’est le premier qu’elle vivra seule
avec sa fille Marguerite. Décidée à entretenir la magie pour son enfant, la
jeune femme loue un chalet dans les Laurentides. Toutes deux y découvriront
alors un livre de recettes bien mystérieux...
Alexis, jeune chef copropriétaire d’un restaurant, passe des
moments difficiles, lui aussi. Sur un coup de tête, il décide de louer un
chalet sur la rive nord afin de prendre du recul. Les destinées d’Evelyne et
d’Alexis se croisent alors. Le charme de Noël sera-t-il assez fort pour guérir
leurs blessures et donner une nouvelle chance au bonheur ?
Mon avis
Je le dis chaque année, la période des Fêtes me déprime plus
que d’autres choses, probablement à force de faire un bilan semblable d’une
année à l’autre. Pour cette raison, je me suis reconnue un peu en Evelyne, qui
même si elle adore Noël, elle s’est questionnée sur la prochaine année pendant
son séjour dans les Laurentides.
Je me suis aussi identifiée en celui à qui je donne mon
étoile du match : Alexis. Il réalise qu’il souhaite une vie plus calme et
se prépare lentement aux changements. Sa décision à propos d’un événement
marquant de son passé m’a surprise, mais on voit qu’il a évolué et c’est ce que
j’apprécie le plus dans un roman.
La fille d’Evelyne, Marguerite, arrive très près en seconde
position. Elle est très intelligente et je crois qu’elle joue un rôle important
dans la relation entre les deux protagonistes. C’est elle qui pousse sa mère à
cuisiner les recettes du livre qu’elles ont trouvé au chalet et qui a lié
Evelyne et Alexis.
Que vous aimiez la période des fêtes ou pas, j’espère que
les protagonistes vous toucheront autant que moi. L’écriture de Josyane
Bissonnette va droit au cœur et c’est difficile de déposer le bouquin (ou
fermer sa tablette) avant de se rendre à la fin. Je tiens à vous avertir de ne
pas lire cette œuvre le ventre vide, même si je venais de déjeuner, chaque
passage me donnait faim.

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