Publié chez Saint Jean le 29 octobre 2025
400 pages
Lu en version papier
4e de couverture
Après une rupture amoureuse, Iris quitte Londres sur un coup
de tête pour New York, ville que Vivien, sa mère décédée trois ans auparavant,
adorait. Alors qu’elle se promène dans les rues de Little Italy, Iris reconnaît
la vitrine d’un glacier qui figurait sur une photo trouvée dans l’album de sa
mère. Intriguée, elle entre et y rencontre Gio, le neveu du propriétaire. Il
est bien tourmenté, car l’unique détenteur de la recette secrète de leur crème
glacée à la vanille, son oncle, a des trous de mémoire.
Dès la première bouchée, Iris réalise que la fameuse crème
glacée que sa mère faisait et celle de l’oncle de Gio sont identiques! Sans
imaginer le lien qui les unit, Iris décide d’aider Gio à recréer la saveur tant
recherchée. Se pourrait-il que leur collaboration devienne autre chose? Une
envoûtante histoire qui ravira les plus gourmands et les plus romantiques, dans
le New York féerique du temps des fêtes!
Mon avis
New York est la première ville que j’ai visitée à
l’extérieur du Canada dont j'étais assez âgée pour m'en souvenir. Même si mon
opinion sur ce pays a changé depuis, cette ville à une place spéciale dans mon
cœur et c’est ce qui m’a poussé à consulter ce roman.
C’est le premier que j’ai lu de cette auteure et je n’ai pas
été déçue. La romance et l’entourage prennent une position importante dans
l’histoire puisque Iris tente de se remettre du décès de sa mère et Gio est
très prêt de sa famille spécifiquement de sa fille.
Je donne mon étoile du match à Iris puisque son évolution
m’a étonnée. Je garde le suspense, mais elle se lance dans une étape de sa vie
qu’elle n’avait pas programmée. Je vous rassure, elle ne tombe pas enceinte.
C’est encore plus cool que c’est une trope qui est surutilisée dans ce genre
littéraire.
L’histoire est quand même prévisible, mais j’avais besoin de
me réchauffer l’âme en ce moment et l’auteure a fait un excellent travail pour
ramener le sourire. Je le recommande chaudement, si vous aimez la romance.
Extraits
Je suis venue en quête de changements, avide de découvrir le
New York que je ne connaissais qu’à travers les films préférés de ma mère.
(p.19)
Iris, répète-t-il. Comme la chanson des Goo Goo Dolls. (p.44)
Je suppose que c’est l’un des effets secondaires de mon
statut d’enfant unique : j’aspire à la solitude quand le monde extérieur
devient trop intense et depuis toute petite j’adore me réfugier sous les
couvertures. (p.93)
Je n’avais jamais eu le cran de chanter devant un public et
c’est comme si j’avais figé le temps dans ce coin de parc new-yorkais, dans un
instant de magie pure. (p.137)
Le considérer comme mort et vraiment m’y tenir cette fois,
car je ne me suis pas extirpée de ses griffes pour le laisser devenir mon
Voldemort personnel. (p.357)

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