Publié chez Libre Expression le 10 septembre 2025
192 pages
Lu en version papier
4e de couverture
Avec humour et amour, sans détours ni tabous, Patricia nous
sert un cocktail de souvenirs marquants, d'anecdotes croustillantes et de
tranches de vie inédites, brassés avec un soupçon de candeur, un zeste de folie
et beaucoup d'humanité.
Dans ce livre, Patricia Paquin relate son enfance au sein
d'un clan familial atypique. Des personnages hauts en couleur qui savaient
métamorphoser la banalité du quotidien – on n'a qu'à penser au salon familial,
tout droit sorti de Polynésie ! –, qui vivaient chaque jour comme s'ils étaient
sur scène et qui ont donné le ton à la vie que Patricia s'est bâtie avec ses
enfants et son mari.
Mon avis
Je n’ai pas grandi avec Chambres en Ville, mais l’auteure
fait partie de mon univers télévisuel depuis plusieurs années et j’étais
curieuse de la connaître davantage. Vous savez combien j’adore les biographies
et être inspirée par le vécu des autres.
Bien que nos enfances diffèrent, j’ai apprécié son parcours
et j’ai ri à quelques reprises, ce qui m’a fait du bien. Vous allez trouver quelques
chapitres tristes vers la fin, mais c’est spécialement les passages
humoristiques dont je vais me souvenir.
Je crois qu’en racontant son histoire familiale, plusieurs
lecteurs pourront se reconnaître. D’ailleurs, l’histoire de son premier enfant
m'a touché et je ne savais pas que je l’apercevais régulièrement à la
télévision dans Stat.
Extraits
Tu sais que les gens, c’est jamais juste ce qu’on voit en
surface. Et moi, j’aime les gens qui creusent un peu. Qui ne jugent pas trop
vite. Qui osent se mettre en action, même quand ça brasse partout en dedans.
Ceux qui font ce qu’ils veulent, comme ils le veulent, quand ils le veulent. (p.15)
Bouddha disait : « Ce que vous pensez, vous le devenez.
Ce que vous ressentez, vous l’attirez. Ce que vous imaginez, vous le créez. »
Ma mère, elle, dirait : « Ce que vous forgez vous permet de mieux
respirer! » (p.22)
Ma deuxième pub a été réalisée pour le ministère de
l’Environnement, en 1972. Elle visait à sensibiliser les Québécois pour les
amener à changer leurs mauvaises pratiques. Je me souviens qu’elle se terminait
par la phrase suivante : « Revenons sur cette, il en est encore temps. »
C’était il y a plus de cinquante ans, il faut croire que le message ne passe
pas vite..(p.27)
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