Publié chez les
éditions Trécarré le 16 avril 2025
160 pages
Lu en format
papier
4e
de couverture
Ce livre vous aidera à mieux
composer avec l’anxiété de décider et l’inconfort émotionnel entourant
celle-ci. Plutôt que de chercher à éliminer la peur, il explique comment
l’apprivoiser et déconstruit certains mythes et croyances que nous entretenons
face aux choix. Les autrices proposent des exercices et des stratégies pour
favoriser l’indulgence envers soi et adopter un état d’esprit qui offre une
tout autre perspective au processus décisionnel.
Mon avis
La 4e
de couverture décrit exactement le contenu du livre. On ne parle pas ci de
prendre des décisions quotidiennes comme le choix des repas, mais celles qui
ont des impacts sur notre vie et celles des autres. J’ai rarement de la
difficulté à faire des petits choix, mais quand vient le temps de procéder à
des changements, c’est à ce moment que j’hésite et que je me questionne trop
pour finalement tourner en rond.
En ouvrant ce
livre, j’espérais trouver des pistes pour m’éclairer sur ce problème et c’est
un peu ce que j’ai retenu de l'oeuvre. Les exemples sont clairs et le
vocabulaire accessible. Je le recommande, si vous vivez la même chose.
Extraits
Ce livre se veut
un outil pour aider à désamorcer l’anxiété entourant vos choix. Nous avons
souvent tendance à entrevoir la prise de décision comme un phénomène à « haut
risque ». Or, il est possible de concevoir le processus décisionnel comme moins
dangereux et menaçant, afin que l’anxiété n’empêche plus de décider. (p.10)
Lorsqu’on définit
le problème comme extérieur à soi, on diminue son pouvoir d’agir et on se met
en posture d’attente : attendre que l’autre change, se mobilise,
comprenne, etc. Or, nous n’avons aucun contrôle sur l’autre. (p,30)
Certes,
transformer son état d’esprit n’est pas toujours facile. Nous vous invitons
néanmoins à vous prêter au jeu en cultivant, au jour le jour, ici et là et
autant que possible, des attitudes d’ouverture et de curiosité. (p.38)
Croyez-nous :
c’est un leurre de penser qu’au terme d’analyse d’une situation, de ses
avantages et ses inconvénients, un sentiment de certitude s’installera dans
notre cœur et notre tête, faisant disparaître l’indécision par magie. (p.63)
Contrairement à
l’anxiété, le perfectionnisme est moins centré sur la peur des conséquences
découlant d’un choix. En ce sens, on ne retrouve pas forcément de scénarios
catastrophes qui se multiplient chez les gens perfectionnistes. (p.66)
Prenez les
phrases suivantes, qui reviennent si souvent : « Je n’y arriverai pas », « Je ne
serai pas capable », « Ça ne marchera pas », « C’est toujours à moi
que ça arrive, ces choses-là ! ». Ces pensées négatives nous tirent vers
le cas. Si nous les écoutons et si nous les croyons, elles dicteront notre
comportement. (p.69)
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