Publié chez A
Éditeur le 8 avril 2025
352 pages
Lu en format
papier
4e
de couverture
Depuis la
pandémie, Milo a une vie simple : il programme des jeux vidéo de chez lui,
commande son épicerie via son téléphone et, lorsqu’il a envie de sexe, il
appelle son plan cul qu’il a trouvé sur une app en ligne. Quand Maria lui
suggère de faire appel à La Boîte à fantasmes pour faire un trip à trois avec
une autre fille, il n’a aucune idée de ce que cela aura comme conséquence dans
sa vie. Voilà que ses fantasmes évoluent…
Au club associé à
l’agence, il fait la rencontre d’Athéna, une femme bisexuelle libre et assumée.
Non seulement elle le guide dans des fantasmes qu’il ignorait avoir, mais il
tombe rapidement sous son charme.
Mon avis
C'est un livre
pour un public averti puisqu’il contient plusieurs scènes intimes, plus que je
l’imaginais au commencement. Dès les premiers chapitres, on assiste à un trip à
trois qui donne la note pour le reste du bouquin.
J’ai déjà lu
plusieurs romans érotiques incluant ceux de cette auteure, mais j'ai éprouvé
des difficultés pour me rendre jusqu’à la fin avec lui-ci. Même quand c’est
surtout à propos de sexe, j’aime voir une connexion sentimentale entre les
protagonistes et je pense que c’est ce qui manquait le plus. J’avais beau
vouloir assister à l’évolution de la relation entre Milo et Athéna, je n’arrive
à m’attacher aux personnages. Pourtant,
j’ai tout essayé pour bien profiter de l’histoire. Ça n’a juste pas fonctionné.
Les scènes
d’amour sont bien écrites, mais j’avoue que je les ai trouvées un peu
redondantes. La bonne nouvelle est qu’on découvre parfois des scènes à deux ou
à trois, cela change selon les circonstances. J’aime bien l’idée du club bien
qu’elle a été utilisée plusieurs reprises dans les romans du même genre, je crois
que l’auteure l’a utilisée à sa façon.
Extrait
Je me sens encore
troublé par cette façon d’être en couple, même si j’admire cette liberté qui
est la leur. Sans entrave. Sans regret. Il y a quelque chose de beau dans cette
confiance qu’ils ont l’un envers l’autre. Il faut être sûr de soi pour ne pas
craindre qu’on nous pique notre partenaire, il me semble. (p.164)
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