Publié chez A Editeur le 28 octobre 2025
384 pages
Lu en format papier
4e de couverture
Et si l’amour méritait une seconde chance ? Après avoir mené
Montréal à la conquête de la coupe Stanley, le gardien de but Andrew O’Connell
savoure la gloire, mais son coeur reste barricadé. Trois ans plus tôt, un drame
l’a brisé, et depuis, il se refuse à tout engagement. Pour lui, les relations
ne doivent être qu’éphémères. Ingrid Lemay, quant à elle, donne sans compter.
Entre son bénévolat à l’hôpital pour enfants et son désir
d’aimer pleinement, elle s’épuise dans une relation toxique qui la prive de sa
lumière. Le destin les mettra pourtant sur la même route, bousculant leurs
certitudes et réveillant des blessures qu’ils croyaient enfouies.
Mon avis
Je recommande fortement de lire les autres tomes de la même
série pour bien comprendre l’univers. Même si chaque tome met de l’avant des
personnages différents et complexes, les tomes sont en ordre chronologique et
vous risquez de divulgâcher si vous souhaitez découvrir la série au complet par
la suite.
La romance demeure en premier-plan, mais j’apprécie quand
l’auteure ajoute une touche supplémentaire qui me donne envie d’aller jusqu’au
bout de l’histoire, même si je me doute déjà de la façon dont cela va se
terminer.
Je donne mon étoile du match à Ingrid, même si je ne suis
pas d’accord avec sa décision vers la fin du livre. Une partie de moi
souhaiterait suivre son exemple, mais je vous laisse découvrir si elle tient à
prendre ses distances ou non.
J’aime bien Andrew. Toutefois, j’ai dû attendre vers le
milieu du roman arriver à cet avis. Possible que c’est parce qu’il me fait
penser à certaines personnes que je connais, mais quand on apprend la raison de
ses agissements, cela m’a donné envie de lui pardonner.
Extraits
Alors que l’autobus s’arrêtait à un feu rouge, Ingrid
soupira de découragement. Le bonheur, le vrai, celui qu’on décrit dans les
livres et qu’on voit dans les films, existait-il réellement? (p.16)
Tout le monde commet des erreurs, murmura-t-elle. Je vais être
là pour toi. Je ne te laisserai pas tomber, promis. (p.61)
Sur le chemin du retour, Ingrid était pensive. Cette soirée
avait sans contredit été l’une des pires de sa vie. Mickael avait été de ces
amours naïfs desquels elle avait tout accepté. Des oui prononcés alors qu’ils
auraient dû être des non. Des faibles sourires plutôt que des prises de
décisions assumées. (p.78)
Est-ce que j’aurai besoin du laissez-passer A-38? Le questionna
Ingrid, pince-sans-rire. (p.128)
Pas que ce soit un reproche, s’empressa d’ajouter Kimberly.
Seulement, tu as l’air d’un petit ange et Dieu sait qu’Andrew aime les démones,
n’est-ce pas? (p.186)
Ironiquement, la chanson de sa liste de lecture était celle
de Gracie Adams intitulée I love you, I’m Sorry. (p.221)
À cette époque, je crois qu’inconsciemment, je m’accrochais
à toi, en espérant que, si tu m’aimais, tu effacerais ce que j’avais vécu avec
Michael. (p.327)
Ma chronique de Promets-moi le bonheur

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